Un des  pionniers de la paléontologie africaine est mort à l’âge de 77 ans. Né au Kenya le 19 décembre de parents eux même passionnés de fossiles et découvreurs de squelettes d’hominidés, Louis et Mary Leakey, Richard devient d’abord guide de safari avant de reprendre les travaux familiaux. Lors de séjours près du lac Turkana, dans le nord du Kenya, il remarque des affleurements rocheux prometteurs, obtient une bourse de la National Geographic Society et se lance dans des fouilles. C’est là que, dans les années 70, il découvre les premiers crânes d’Homo habilis (1,9 million d’années) et Homo erectus (1,6 million d’années). Sa renommée internationale est faite en 1984 lorsqu’il met à jour un squelette quasi complet d’Homo erectus, bientôt baptisé le « Garçon du Turkana ». C’est pourtant envers les animaux qu’il va consacrer la fin de sa vie.

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Le président namibien Hage Geingob a levé depuis le 22 octobre dernier presque toutes les restrictions de voyage pour la Namibie. Les aéroports internationaux sont de nouveaux ouverts ainsi que certains postes frontaliers terrestres. Tous les lodges répondent aux normes anti-covid mises en place par le ministère de la santé et le pays n’est plus considéré à risque pour les ressortissants français lesquels ne sont plus soumis à quarantaine en arrivant sur place. Seul un test PCR négatif de moins de 72 h est requis à l’arrivée et aucun autre test ne sera à effectuer au cours de vôtre séjour. Enfin, une assurance voyage couvrant les éventuels frais médicaux liés à la covid-19 est demandée.

Pour vous y rendre, nous vous proposons des vols avec Emirates et Ethiopian Airlines. Emirates a en effet étendu son réseau en Afrique du Sud grâce à un accord avec Airlink qui permet désormais aux voyageurs de bénéficier, via les aéroports de Johannesburg et du Cap, de connexions vers plus de 25 villes intérieures et 20 dessertes régionales dont la Namibie. Les vols se font via Dubaï. De son côté, Ethiopian Airlines propose des vols Paris- Addis Abeba –Windhoek avec un temps d’escale à l’aéroport de la capitale éthiopienne.

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Situé dans le centre du Mozambique, à proximité de la ville de Beira, le parc national de Gorongosa revient de loin. Réserve de chasse dans les années 1960, transformé en parc national dans les années 1970, il est alors considéré comme un véritable paradis pour la faune africaine. A l’époque, une première étude scientifique dénombre plus de 2 000 éléphants, des dizaines de milliers de buffles, de zèbres et d’antilopes et quelques centaines de lions et de grands prédateurs. Après 15 ans de guerre civile, le parc est exsangue de ses animaux qui ont servi de garde-manger tant aux combattants qu »aux civils alors que l’ivoire des éléphants finançait l’achat d’armes. Et puis, en 2000, un ange-gardien s’est penché sur le parc. Le milliardaire Greg Carr a décidé de consacrer une partie de sa fortune au renouveau du Gorongosa. 20 ans après, le résultat est extraordinaire.

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100km  ! Cela ressemblerait presque à un voyage au bout du monde après ces deux mois de confinement. Nul doute que les annonces du premier ministre Edouard Philippe vers un déconfinement progressif vont dans le bon sens même si elles sont pour le moins frustrantes à vous comme à nous, amoureux des voyages au long cours. Alors puisque la porte est entrouverte pourquoi ne pas aller plus loin, repousser les murs et rêver à de nouveaux projets d’escapade  ?

Au cours de ces dernières semaines, toute l’équipe de Safari World Image et Les Plus Beaux Lodges a réfléchi à ce que pourraient être vos envies d’évasion. L’Afrique évidemment. Après des mois sans aucuns visiteurs, les animaux des parcs et des réserves africaines auront pris leurs aises. Ils n’en seront que plus faciles à observer lors de votre prochain safari. Si le continent semble relativement épargné par la pandémie, il restera malheureusement inaccessible encore pour quelques mois. Le temps parfait pour découvrir nos propositions d’évasions, y réfléchir, et, pourquoi pas, y succomber  !

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Safari World Image et lesplusbeauxlodges.com sont présents au Salon des Grands Voyages qui se tient les 11 et 12 octobre au Carrousel du Louvre. Retrouvez-nous au stand B 029 pour évoquer le souvenir de vos précédents safaris et rêver aux suivants. Nous avons en effet de nouvelles destinations telles que l’Ouganda, la Zambie et le Malawi et de nouveaux itinéraires alliant safaris et séjour balnéaire.

Le Salon des Grands Voyages a pour ambition d’être une source d’inspiration originale pour vos prochains voyages proches ou lointains. Mille et unes idées sont réunies pour se relaxer dans un resort du Pacifique, parcourir l’Amérique du Sud en famille, cruiser aux confins des eaux australes, se délecter des spots les plus tendances des grandes villes du monde, découvrir notre histoire dans les déserts africains, s’offrir un voyage de noces dans les Caraïbes, observer la faune lors d’un safari, descendre les plus belles pistes de ski au monde, parcourir les routes des vins  ou se délecter de nouvelles saveurs…

Bénéficiez d’une invitation gratuite en cliquant ICI

 

Salon des Grands Voyages

Carrousel du Louvre

Vendredi 11 et samedi 12 octobre 2019, de 10 h à 19 h

Nocturne le vendredi soir jusqu’à 21 h

www.grands-voyages.com

 

Chez les amateurs de safari, le parc de South Luangwa, en Zambie, est considéré comme un lieu à part, unique en Afrique. Créé en 1938 comme réserve de chasse puis transformé en parc national en 1972, couvrant une superficie de 9 050 km², ce parc s’étire le long de la rivière Luangwa sur une bonne centaine de kilomètres. C’est cette rivière qui fait tout le charme du parc. Grâce à l’eau, la végétation foisonnante (2 000 espèces de plantes) est capable de  nourrir de nombreux herbivores (bushbuk, duiker, élan, koudou, impala, zèbre, gnou, girafe, buffle, éléphant…) qui font les beaux jours des prédateurs dont les rares lycaons. En tout, plus d’une centaine d’espèces animales ont été recensées dans le parc. Le rhinocéros est hélas le grand absent, exterminé par les braconniers, alors que les hippopotames affichent une des plus fortes densités africaines.

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