Depuis le 1er octobre 2024, les visiteurs à destination de l’ile de Zanzibar doivent souscrire une assurance voyage obligatoire pour se rendre dans l’archipel. Et ce, en plus du visa électronique (e-Visa) d’entrée en Tanzanie.
Valable pour une période de 92 jours, cette assurance obligatoire coûte 44 US$ (environ 40€). Si vous ne la prenez pas, vous risquez de ne pas pouvoir entrer sur l’île. L’assurance a été mise en œuvre par les autorités locales pour « assurer la sécurité et le bien-être de tous les étrangers et atténuer tout risque éventuel lié à leur voyage sur l’île. Cette police offre une couverture complète pour diverses urgences, notamment le rapatriement, l’évacuation et d’autres imprévus connexes : frais médicaux d’urgence et frais de rapatriement (corporel et médical), accident personnel, retard de bagages, vol et perte, frais juridiques, responsabilité civile, etc.
Il faut donc se rendre sur le site et suivre les indications : https://visitzanzibar.go.tz/#fr
Vous recevrez ensuite sur votre adresse mail l’attestation de votre police d’assurance qu’il est conseillé d’imprimer et d’emmener avec vous sur place.
Les vastes plaines du Serengeti (en langue masaï plaine infinie) sont parsemées ici et là de formations rocheuses appelées kopjes. Ces amoncellements de rochers sont de parfaits postes observation pour les lions et les léopards qui ne dédaignent pas à l’occasion y élire domicile. Quelques petits herbivores équilibristes (daman des rochers, oréotrague) y vivent également.
Au sein des immenses plaines d’Afrique orientale telles que celle du Serengeti, les kopjes sont une des particularités géologiques marquantes de tout safari en Tanzanie. En effet, ces îlots rocheux sont très appréciés des prédateurs qui s’en servent comme poste d’observation pour guetter leurs proies. Ils sont donc régulièrement visités par les chauffeurs de 4×4 qui savent pouvoir y trouver les félins tant appréciés des amateurs de safari. (suite…)
Les perles sont indissociables de la culture maasaï. Hommes ou femmes, tous les portent avec élégance au quotidien et à foison les jours de fête. Parés de rouge, arborant colliers, ceintures et bracelets en perles colorées, les Maasaï ont imprimé de leur image l’esprit des Occidentaux. Ces accessoires semblent ne faire qu’un avec eux tant il nous semble évident que ces perles viennent elles aussi du fond des âges. Au risque de casser le mythe, les couvertures rouges proviennent d’Ecosse et les perles en verre, de la République Tchèque. Celles en plastique, de Chine. Certes l’histoire des perles est ancienne, remonterait au XVe siècle lorsque les navigateurs européens se lancent à la conquête du monde. Ils chargent leurs navires de verroterie produite en masse à Murano, en Italie, pour amadouer les « sauvages » et faire du troc avec eux.
Venez nous retrouver sur le stand A 24 au Salon des Grands Voyages les 18 et 19 novembre prochains au Palais Brongniart à Paris. Ce salon sera l’occasion pour nous de vous présenter nos nouvelles destinations (Mozambique, Ouganda…) et nos nouvelles idées de safari en Namibie, au Botswana, en Afrique du Sud ou encore en Tanzanie avec un combiné safari dans les plus beaux parcs tanzaniens et une escapade balnéaire sur les plages de Zanzibar. Pour toutes ces destinations, et bien d’autres encore, nous vous proposons des safaris exclusifs, en véhicule privatif, avec une sélection rigoureuse de lodges réputés pour leur confort, leur emplacement et la qualité de leur service.
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Avec une superficie de 1 510 km², le Masai Mara est le parc le plus connu du Kenya. Réputé pour ses populations d’éléphants et de grands fauves, il est chaque année, en été, le lieu idéal pour assister à la grande migration des gnous dans son expression la plus spectaculaire : la traversée de la rivière Mara à laquelle le parc doit son nom. Considérée comme la septième merveille naturelle d’Afrique ou l’un des dix merveilles du monde, la Grande Migration prend place de juillet à fin septembre.
Un des pionniers de la paléontologie africaine est mort à l’âge de 77 ans. Né au Kenya le 19 décembre de parents eux même passionnés de fossiles et découvreurs de squelettes d’hominidés, Louis et Mary Leakey, Richard devient d’abord guide de safari avant de reprendre les travaux familiaux. Lors de séjours près du lac Turkana, dans le nord du Kenya, il remarque des affleurements rocheux prometteurs, obtient une bourse de la National Geographic Society et se lance dans des fouilles. C’est là que, dans les années 70, il découvre les premiers crânes d’Homo habilis (1,9 million d’années) et Homo erectus (1,6 million d’années). Sa renommée internationale est faite en 1984 lorsqu’il met à jour un squelette quasi complet d’Homo erectus, bientôt baptisé le « Garçon du Turkana ». C’est pourtant envers les animaux qu’il va consacrer la fin de sa vie.