Fonctionnant du 1er mai au 30 septembre, les camps de Satara Plains Camp et le Tshokwane River Camp sont identiques dans leur structure. Ils se composent de 30 tentes de luxe avec un lit king size ou deux lits jumeaux avec moustiquaire, d’une salle de bain attenante avec douche et d’une terrasse extérieure. Tous deux proposent de vivre une nouvelle expérience de safari en Afrique du Sud, au plus proche de la savane, de sa faune et de sa flore.
Être un camp saisonnier comporte nombre de défis, dont l’accès limité aux ressources telles que l’électricité et l’eau. Pour résoudre ce problème, les camps de Satara Plains Camp et de Tshokwane River Camp utilisent à la fois générateur et énergie solaire. Les limitations d’eau sont gérées grâce à l’utilisation d’appareils à faible débit et à des conseils pratiques donnés aux clients. Certaines fonctionnalités sont donc réduites au strict nécessaire. Ainsi, les prises électriques ne permettent que le chargement des téléphones mobile, le réservoir de la douche est remplie chaque jour par un membre du personnel du camp et le Wifi n’est accessible que dans les espaces dédiés. L’idée est que l’impact sur le territoire soit minimal. A la fin de la saison, il ne doit rester aucune trace du campement afin que la nature puisse reprendre ses droits.
Pour autant, le Satara Plains Camp et le Tshokwane River Camp offrent un véritable confort. Le restaurant a été décoré avec soin, sa vue est sublime surtout au coucher de soleil. C’est là que se prennent les repas (petit-déjeuner, déjeuner, thé, dîner). Tous les séjours dans ces camps sont en pension complète et les menus concoctés par le chef sont fixes.
Des deux camps, le Tshokwane River Camp est le plus confortable. Installé près de la rivière Ripape, il permet l’observation d’une faune nombreuse dont beaucoup d’oiseaux. Il bénéficie par ailleurs d’une piscine démontable.
Le Satara Plains Camp est le plus reculé et le plus sauvage. Il est situé dans une région réputé pour sa populations de lions. Les enfants de 16 ans n’y sont pas admis.
Les camps de Satara Plains Camp et le Tshokwane River Camp sont ouverts du 1er mai au 30 septembre, pendant l’hiver austral.
Un minimum de deux nuits est requis pour réserver un séjour au Satara Plains Camp ou au Tshokwane River Camp.
Immergés en pleine nature, les camps saisonniers de Satara Plains Camp et de Tshokwane River Camp permettent de vivre une nouvelle expérience de safari en Afrique du Sud. Ils ne sont accessibles qu’en 4×4 spécialement équipés pour le safari, permettant ainsi à chaque passager d’observer la faune dans les meilleures conditions. Les véhicules sont ouverts et d’une capacité de 8 à 10 personnes maximum. La réglementation du parc interdit le hors-pistes en dehors des routes et chemins existants. Pas de soucis pour autant. La faune est nombreuse dans le parc du Kruger et vous aurez toutes les chances en cours de safari de voir les big five mais aussi des antilopes, des koudous et une multitude d’oiseaux.
Il est possible d’organiser des safaris à pieds dans le parc du Kruger en lieu et place d’un safari en 4×4 car deux safaris par jour sont compris dans le prix du séjour. Un ranger armé sera votre guide. Il vous apprendra à reconnaître les traces des animaux et à les approcher sans faire de bruit. Un maximum de huit personnes est autorisé par safari à pieds.
L’Afrique du Sud est le premier pays africain à avoir créé des parcs nationaux. Le plus ancien d’entre eux n’est autre que le célèbre Kruger, situé à l’Est du Pays, à la frontière du Mozambique, officiellement créé en 1926 pour protéger les population d’éléphants et de rhinocéros du pays.
La première réserve apparaît le long de la rivière Sabie en 1896 grâce au président sud-africain de l’époque, Paul Kruger. Elle ne cessera de s’agrandir jusqu’en 1926, date à laquelle la réserve devient parc national et prend le nom de Kruger, ce président visionnaire qui fut le premier à comprendre que la faune africaine devait être protégée. Depuis, de nombreuses réserves privées se sont agglomérées au parc (Sabi Sand…) et des concessions privées se ont ouvertes dans le parc (Lebombo lodge) qui offrent un choix incroyables de safaris et de très belles rencontres avec une des faunes les plus riches et les plus variées d’Afrique australe.
Le parc Kruger fait deux fois la Corse (superficie de 20 000 km², 350 km du nord au sud et 60 km d’est en ouest !), abrite 138 espèces animales, 450 espèces d’oiseaux et plus de 200 familles de plantes. Sa particularité est d’être ouvert à tous. Il suffit de payer un droit d’entrée pour y circuler avec sa voiture particulière ou de location en suivant les routes goudronnées. Pour autant, de nombreux lodges se sont installés dans des concessions louées au parc qui proposent des safaris plus intimistes sur leur territoire. Le soir, au bar du lodge, la conversation s’engagera inévitablement sur la question des « Big Five », les cinq gros. Il faut les avoir vu et inutile de songer à quitter le parc sans eux. Le lion, l’éléphant, le rhinocéros, blanc ou noir peu importe, le léopard et le buffle sont les garants d’un safari réussi et d’hôtes réjouis. Au Kruger, pas de soucis. Avec 7 500 éléphants, 1 400 lions et plus de 500 rhinocéros recensés, ce serait bien le diable si vous n’y parvenez pas.
Ambassade d’Afrique du Sud : 59, quai d’Orsay, 75343 Paris Cedex 07. Tél. : 01 53 59 23 23. Mail : info@afriquesud.net. Site internet : www.afriquesud.net/index.php ? lang=fr
Ambassade de France à Pretoria : 250 Melk Street – Nieuw Muckleneuk – Pretoria, 0181. Tél : +27 (0) 12 425 1600. Site : https://za.ambafrance.org
Consulat de France à Johannesburg : Rosebank Corner Building, 3rd floor, 191 Jan Smuts Avenue – Parktown North. Téléphone : + 27 (0)11 778 56 00. Mail : info.johannesburg-fslt@diplomatie.gouv.fr. Site : https://johannesburg.consulfrance.org
Un passeport en cours de validité et un billet aller-retour suffisent pour les ressortissants français. Aucun visa n’est nécessaire pour les séjours ne dépassant pas 90 jours. Attention : aux termes de l’Immigration Act de 2002 (loi n°13 de 2002), en vigueur depuis le 7 avril 2003, votre passeport doit comporter deux pages vierges lors de la présentation pour l’apposition des tampons.
Les personnes en provenance de régions infectées par la fièvre jaune doivent présenter un certificat international valide de vaccination contre la fièvre jaune. Seuls les enfants de moins d’un an sont exemptés de cette obligation. Si aucun vaccin n’est exigé, il est fortement recommandé de suivre un traitement anti-paludéen dans certaines provinces (Traansvaal oriental, Kwazulu-Natal, Kruger pendant la saison des pluies). Eau du robinet potable mais pas partout. Mieux vaut privilégier l’eau en bouteille.
La monnaie locale est le rand (ZAR). Cartes de crédit acceptées presque partout. Les banques sont ouvertes en semaine, de 9h à 15h30 et de 9h à 11h le samedi.
La langue officielle est l’anglais même s’il en existe une dizaine d’autres (afrikaans, ndebele, sesotho, tsonga, tswana, venda, xhosa, zoulou….)
+ 1h en hiver ; pas de décalage en été.
Prises anglaises donc adaptateur nécessaire.
De la France vers l’Afrique du Sud, composez le 00 27 + l’indicatif de la région sans le zéro (012/Pretoria, 011/Johannesburg, 021/Cape Town, 031/Durban, 051/Bloemfontein) + le numéro de votre correspondant.
Informations et sécurité des touristes : 083 123 2345
Police secours : 10111
Police : 0800 11 12 13
Services d’urgence et de crise : 1022
Ambulance : 10117